Munira était en cinquième année à Kandahar quand elle a signé « Dre Munira » dans son journal intime. C’était une promesse que l’écolière afghane se faisait à elle-même : un jour, elle serait médecin, comme deux de ses tantes. Qu’importe les attaques à l’acide sur le chemin de l’école. Qu’importe les bombes et les menaces. Que ça plaise ou non aux talibans.
Source:LaPresse.ca – Manchettes – Read More