Marie-Claude Bibeau n’hésite pas bien longtemps lorsqu’on lui demande d’identifier le facteur qui l’a incitée à quitter la scène politique fédérale. « L’appel de la mairie y est pour beaucoup », lance-t-elle. Ses yeux, résolument tournés vers l’hôtel de ville de Sherbrooke, s’embuent presque aussitôt.
Source:LaPresse.ca – Manchettes – Read More